Établir un budget et s'y tenir permet d'éviter un éventuel endettement ou d'angoisser à la fin du mois. Cela peut aussi aider à mettre de l'argent de côté. On est souvent surpris …
Dernière modification: 10 février 2022
Il ne faut pas renoncer à faire des études ou un apprentissage pour des raisons financières. Des bourses d’études ou d’apprentissage (allocations) existent.
Chaque canton dispose d’un office des bourses, mais il existe des différences cantonales quant aux critères d'attribution et aux montants alloués.
Tu trouveras toutes les informations nécessaires à ce sujet (conditions d’octroi, montants des allocations, etc..) en consultant directement le site de la CDIP ou à l'office des bourses de ton canton:
Les jeunes suisses de l'étranger peuvent aussi se renseigner auprès de l’association educationsuisse.
Les offices cantonaux des bourses d'études et d'apprentissage peuvent octroyer une aide financière, soit une bourse non remboursable en principe (complétée ou non d'un prêt) ou un prêt (sans intérêt):
L'importance du montant de la bourse dépend en priorité de la situation financière des parents. Les parents ont l'obligation d'entretenir leur enfant, même au-delà de la majorité, jusqu'à leur première formation, pour autant que celle-ci se termine dans des délais normaux (Code civil, art. 276 et 277).
Des programmes d'insertion professionnelle (AFP, CFC)
Dans certains cantons, il existe des programmes d’insertion professionnelle pour les jeunes en difficulté. Si tu éprouves des difficultés, n’hésite pas à te renseigner sur ces programmes en te rendant sur les sites des cantons ou, si tu préfères, en prenant contact avec une association que tu trouveras sur notre site dans les adresses.
En cas de difficultés, tu peux aussi t'adresser à un service social : Point jeunes (GE), Action Jeunesse (VS) ou à un service juridique: Juris Conseil Junior (GE). Ces services peuvent te conseiller si tu veux faire un recours contre une décision de refus de bourse.
Anonyme et gratuit : tu peux poser tes questions et un·e spécialiste y répondra dans les 2 jours ouvrables. Tu peux aussi découvrir celles posées par d’autres jeunes.
Tu as envie de parler de tout et de rien, d’échanger sur des événements de ton quotidien, de parler de ton travail ou de tes études, de pousser un coup de gueule sur un sujet qui te touche et avoir l’avis d’autres personnes, c’est ici.
Cette étude est pour toutes les personnes de 18 à 65 ans, avec un suivi psychiatrique (actuel ou passé), qui ont reçu un diagnostic psychiatrique et dont le français est suffisant.
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Les moqueries, les insinuations, les insultes ; elles ont leur impact direct sur une personne. Raza s’est refermée sur elle-même lorsqu’elle a subi du slutshaming pendant son adolescence. > Découvrir le podcast