Parfois, les individus peuvent penser qu’il serait plus simple de disparaître, que cela règlera les problèmes. Lorsqu’ils·elles pensent à disparaître, ils·elles ne pensent pas que ce sera définitif, sans retour.

Mais le suicide est un acte irréversible qui marque la fin de la vie.

La répétition de comportements à risque, comme les alcoolisations importantes, la prise de toxiques ou encore les relations sexuelles non protégées, les accidents à répétition, etc., est à prendre au sérieux.

Le suicide en chiffres

En Suisse, le suicide est la première cause de mortalité des 15-19 ans, à égalité avec les accidents de la route. Chez les 20-24 ans, c'est la première cause de décès.

Beaucoup de jeunes font des tentatives de suicide, n'en parlent jamais et n'accèdent pas à une structure de soins.

Parler peut sauver

Il existe une différence entre femmes et hommes :
  • Les femmes sont beaucoup plus nombreuses que les hommes à avoir fait une tentative de suicide
  • Il y a cependant plus d'hommes que de femmes qui décèdent d'un suicide

Pourquoi le suicide ?

La mort est souvent envisagée comme un apaisement, pour mettre fin à cette souffrance.
Ça commence par un évènement dur à vivre : une dispute, une rupture amoureuse, une situation vécue comme un échec, etc. Pour chacun·e c’est différent, dans un contexte particulier et avec une accumulation de plusieurs facteurs.
Peuvent venir ensuite des idées noires auxquelles les individus essaient de ne pas penser. Parfois elles deviennent envahissantes. Se sentir confus·e, perdu·e, ne voir aucune issue ou penser au scénario suicidaire peut arriver.

Le suicide n’est pas un choix. C’est lorsque la personne croit ne plus avoir de choix qu'elle pense au suicide.

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Avec le soutien financier de la Confédération.

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