Question (Fille / 2002)

Bonjours,

J’écris concernent une relation « d’amitié » entre une personnes atteinte de Narcissme et moi.

Je suis une étudiante qui vient de changer de pays pour étudier à l’universitée en Angleterre…

Quand je suis venue tout allait bien, j’ai fait de belles rencontres avec des personnes du monde entier, certains personnes m’ont plus, alors que d’autres pas trop… mais j’en prenais pas trop compte.. bref.

Ayant plusieurs expériences avec des personnes toxiques et des personnes ayant un trouble narcissism, je me suis vite rendue compte que dans mon dortoirs universitaires, il y avait une personne qui correspondais très vites à certaines critères. personnes avait un certain intérêt pour moi mais d’une façon assez perverse on vas dire, c’était tard le soir et je venais de m’installer à mon dortoir ont avait eu une discussion assez tranquille, mais vers la fin j’avais vue qu’il m’avais demander si je voulais aller dans sa chambre ou « la mienn » pour passer du temps ensemble.

À la fin j’ai dit non, car j’étais assez fatigué, et nous-nous sommes séparer de notre côté cette nuit la.

Bref… le temps passe, je l’ignore… je dis quelques bonjour, j’essaie de sourire et tout (malgré le fait qu’il me rendait nerveuse car mon ex petit copain étais un narcissist, et m’avais 2x violé…)

J’ai sentie que petit à petit cette personne de l’université, qui vivait sous le même toit, me lâchait petit â petit les petits soin pour moi virait au l’agressivité passive (example: petit commentaire moqueur au sein du groupe sur moi, visage froids, tout pour me dévaloriser).

Selon ma recherche (1 ans précisément due à mon expérience) ce le stade où il veux me faire isoler, quand je suis avec lui seule, pas un sourire, in bonjours, je suis morte pour lui, mais quand le oubli arrive ahhh, bas là c bonjours, rire, bon moment que tout le monde partage…

Mon intuition me dit… je suis en danger, pas à cause du viol, mais qu’il veut me faire du mal, je sens sa colère en lui, sa rage… venir.. j’ai peur, maintenant..
J’ai des tackicardie chaque fois que je le vois, je entends sa voix, (car je dort proche de la cuisine et c ou les gens vont).

Je sais pas quoi faire, les thérapeutes son assez loins ici, et ça me prendra beaucoup de temps pour reçevoir un soin adéquat.

Je pratique toujours le « silence treatment » mais, je pense que la confrontation n’est pas irréversible. Que dois-je faire ? Je sais qu’il n’as pas d’empathie,il peut donc se permettre de faire plus de mal qu’un neuro typique.

Réponse

Vous avez rencontré une personne dans votre nouvelle université, et vous remarquez que cette relation vous semble toxique. Vous ne vous sentez pas en sécurité en sa présence et cela commence à être difficile pour vous.

Seul·e un·e médecin spécialisé·e peut poser un diagnostic de maladies psychiques. Mais ce qui compte, c'est surtout comment vous vous sentez dans cette relation. Si vous considérez cette relation comme toxique, c'est probablement qu'elle vous amène de la souffrance. Il semble que vous vous sentiez dévalorisée, moquée, et peu en sécurité. Il est important de pouvoir écouter ce ressenti que cette relation ne vous convient pas.

Lorsque cette personne vous a proposé d'aller dans une chambre ensemble, vous avez su vous écouter, et lui exprimer que ce n'était pas ce que vous souhaitiez. Nous vous encourageons à continuer à écouter cette petite voix en vous qui permet de bien identifier vos limites.

Vous mentionnez également avoir subi des violences sexuelles de la part de votre ex-copain, et avez peur de vivre à nouveau une relation difficile et violente. Une relation violente laisse souvent des traces, de la souffrance, et peut modifier la façon dont on perçoit alors le monde, soi-même et les autres. Cela peut par exemple amener à redouter certaines situations, à être dans une grande vigilance, et à vivre de l'anxiété.

Vous mentionnez l'idée de consulter un·e thérapeute, mais cela vous semble compliqué. Nous pensons que l'accompagnement d'un·e professionnel·le peut vous aider à surmonter ces épreuves difficiles de votre passé et à vous sentir mieux aujourd'hui. S'il n'est pas possible de trouver un·e psy dans votre région, auriez-vous un·e professionnel·le au sein de votre université, à qui vous pourriez vous adresser pour recevoir une écoute (enseignant·e, psychologue, infirmier·ère)? Cette personne pourrait aussi vous adresser à un·e professionnel·le si besoin, en fonction de votre situation.

Nous vous souhaitons le meilleur, et restons à votre écoute,

Dernière modification le 6 octobre 2022

Avec le soutien de

Avec le soutien financier de la Confédération.

Ouvrir les actions